vengeance

OTHELLO

Traduction François-Victor Hugo – L’action se déroule sur l’ile de Chypre. En pleine tempête, le Maure Otello, chef de guerre victorieux, retrouve sa jeune épouse Desdémone. Mais sur place, il devient surtout la victime de la haine vorace et bien dissimulée de son lieutenant Iago, incarnation brute du mal, prêt à tout pour détruire son maitre. …

OTHELLO Lire la suite »

Roméo et Juliette

Traduction d’Yves Bonnefoy Malgré la haine qui dévore les Capulet et les Montaigu, Roméo et Juliette succombent au coup de foudre lors d’un bal. Bravant la volonté de leurs familles, les jeunes amants décident de s’unir devant Dieu dans le plus grand secret. Extraits “ROMÉO : Si j’ai pu profaner, de ma main indigne, Cette châsse bénie, voici …

Roméo et Juliette Lire la suite »

Le Médecin malgré lui

Pour se venger d’avoir été battue par son mari Sganarelle, Martine le fait passer pour un médecin, mais si fantasque qu’il faut le bastonner pour qu’il accepte d’exercer son art. Contre toute attente, ce médecin malgré lui fait merveille. Au mois d’août 1666, la pièce rencontre un succès éclatant de

Le Vallon

Nouvelle traduction de Sylvie Perez et Gérald Sibleyras

HAMLET suivi de « Le Roi Lear » drame William SHAKESPEARE – traduction de Yves Bonnefoy, 16h. – 2f. – personnages secondaires – Dur?e 2h30 – Les ?ditions Gallimard, collection Folio classique n?1069

Dans Hamlet, Le roi du Danemark, p?re d’Hamlet, est mort r?cemment. L’oncle d’Hamlet Claudius a remplac? le roi d?funt, et, moins de deux mois apr?s, a ?pous? Gertrude, sa veuve. Le spectre du roi appara?t alors et r?v?le ? son fils Hamlet qu’il a ?t? assassin? par Claudius.?

14 hommes – 3 femmes – Dans Le Roi Lear, Le roi Lear tremble dans sa vieillesse et souhaite abandonner son tr?ne pour qu’il puisse se retirer. Il exige que chacune de ses trois filles lui dise combien elle l’aime, afin qu’il puisse diviser son h?ritage sur eux.

?

Extrait d’Hamlet

?LE SPECTRE. Venge son meurtre horrible et monstrueux.

HAMLET. Son meurtre !

LE SPECTRE. Un meutre horrible ainsi qu’est toujours le meurtre, mais celui-ci horrible, ?trange et monstrueux.

HAMLET. Vite, instruis-moi. Et d’une aile prompte, que l’intuition ou la pens?e d’amour, je vole te venger.

LE SPECTRE. Je vois que tu es pr?t. Et tu serais plus inerte que l’herbe grasse, qui pourrit sur les rives molles du L?th?, si mon r?cit ne t’?mouvait pas : ?coute, Hamlet, on a dit que, dormant dans mon verger, un serpent me piqua. Et tout le Danemark, est ainsi abus?, grossi?rement, par cette relation, menteuse. Mais, sache-le, toi qui es jeune et qui es noble, sache-le : le serpent dont le dard tua ton p?re, porte aujourd’hui sa couronne. ? p 60

?HAMLET. Allez, allez, vous questionnez comme une d?vergond?e.

LA REINE. Comment ! Que dis-tu, Hamlet?

HAMLET. Eh bien, que me voulez-vous?

LA REINE. Oubliez-vous qui je suis?

HAMLET. Oh ! non, par la sainte croix ! Vous ?tes la reine; du fr?re de votre mari vous ?tes la femme, et, ? mon grand regret, vous ?tes ma m?re. ? p 136

Extraits Le Roi Lear

?LEAR. Pour toi et pour les tiens et ? jamais, voici un vaste tiers de notre beau royaume. Il vaut bien en grandeur et valeur et d?lices, celui qui est ?chu ? Gon?ril … Mais, notre joie, bien que notre cadette et la plus petite, toi dont les vins de France et le lait de Bourgogne, se disputent le jeune amour, que vas-tu dire, pour tirer un troisi?me lot qui soit plus riche, que celui de tes soeurs? Parles, veux-tu?

CORD?LIA. Je ne dirai rien, monseigneur.

LEAR. Rien?

CORD?LIA. Rien.

LEAR. De rien ne te viendra rien ! Parle encore.

CORD?LIA. Pour mon malheur, je ne puis ?lever, mon coeur jusqu’? mes l?vres. J’aime votre Grandeur, comme c’est mon devoir, ni plus ni moins.

LEAR. Comment, comment, Cord?lia ? Corrige un peu tes paroles, sinon tu g?tes tes chances.  » p 221

?LEAR. Je vais te dire … ( A Gon?ril) Vie et mort ! Que je suis honteux, que tu aies ce pouvoir d’?branler ainsi mon coeur d’homme, et de voir que ces larmes, qui jaillissent contre mon gr?, te rendent digne d’elles ! Temp?tes, brouillards nocifs, flagellez-la ! Que les incurables blessures, de la mal?diction d’un p?re te d?chirent, en chacun de tes sens ! Vieux tendres yeux, si pour ce motif-l? vous pleurez encore, je vous arrache et je vous jette, avec l’eau que vous r?pandez, pour attendrir la terre ! En sommes-nous donc l?? Soit ! J’ai une autre fille qui, j’en suis s?r, est bonne et me consolera. Qui, apprenant ce que tu fis, viendra avec ses ongles, ?corcher ta face de louve – Et tu verras, que je retrouverai cette majest?, que selon toi j’ai perdue pour toujours.  » p 255

HAMLET suivi de « Le Roi Lear » drame William SHAKESPEARE – traduction de Yves Bonnefoy, 16h. – 2f. – personnages secondaires – Dur?e 2h30 – Hamlet : J’…

Retour haut de page