QUELQU’UN VA VENIR suivi de « Le fils » dramatique de Jon FOSSE – traduit du norv?gien par Terje Sinding, 2h. – 1f. – Dur?e 0h00 – Aussi curieux que cela puisse para?tre, les pi?ces de Jon Fosse d?gagent une lumi?re. Une lumi?re tr?s particuli?re qui rappelle celle des peintres scandinaves. Une lumi?re blafarde, comme ? l?occasion d?une ?clipse de soleil qui, n?anmoins, fait clairement appara?tre les contours des personnages et des objets. Le langage simple et r?p?titif, qui r?v?le la solitude hant?e des humains, tout comme l?isolement dans l?espace et le temps au ralenti font de ses pi?ces des instants de grande ?motion, o? l?auteur atteint le but qu?il s?est fix? : ? Cr?er des moments o? un ange est en train de passer sur sc?ne. ?