C’est beau
C'est beau, de Nathalie Sarraute.
Un père et une mère se déchirent sous l'œil ironique de leur enfant, dont la seule présence les empêche d'admirer librement l'œuvre qu'ils contemplent : impossible de dire «c'est beau» face au regard hostile du fils, qui paralyse ses parents. Effet de mai 68, bandes dessinées contre musées ? Refus de l'autorité ? La culpabilité parentale prend ici des proportions énormes.La pièce met ainsi en scène une perpétuelle quête de l'auteur : l'objet . . .
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