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Les pièces qui ont brillé aux Molières

Molière du Théâtre privé : Comme il vous plaira, de William Shakespeare, mise en scène Léna Bréban.

À la suite d’invraisemblables intrigues où s’accumulent désirs, haines et ambitions se trouvent exilés dans le bois d’Ardennes un duc déchu et sa suite. Ils joueront au jeu éternel des assemblages amoureux, faisant fi des genres et des convenances.  Aventure, amour, désir, amitié, passion, jalousie sont au rendez-vous !

Molière du Comédien dans un spectacle de Théâtre privé
et Molière de la Comédie
: Berlin Berlin, de Patrick Haudecoeur et Gérald Sibleyras

Berlin-Est. Emma et Ludwig veulent s’enfuir et passer à l’Ouest. Emma se fait engager comme aide-soignante chez Werner Hofmann pour s’occuper de sa vieille mère sénile. Elle n’est pas là par hasard, cet appartement possède un passage secret qui mène de l’autre côté du Mur… Berlin Berlin, la comédie qui fait décidément tomber tous les murs !

Molière du Comédien dans un spectacle de Théâtre public :
Jacques Gamblin dans Harvey, de Mary Chase, mise en scène Laurent Pelly

Avoir un ami imaginaire lorsqu’on est enfant peut paraître normal, voire attachant ; à l’âge adulte, le phénomène semble, d’emblée, beaucoup plus inquiétant. A 40 ans révolus, Elwood passe le plus clair de son temps avec Harvey, un lapin blanc invisible aux yeux de tous, mais qu’il tient à présenter à quiconque croise sa route.  Décalage et poésie garantis !

Molière du Metteur en scène dans un spectacle de Théâtre public :
Christian Hecq et Valérie Lesort pour Le Voyage de Gulliver, d’après Jonathan Swift.

Débarqué sur l’île de Lilliput, Gulliver apparaît tel un géant aux yeux des minuscules créatures qui l’habitent. Il doit prendre part au conflit qui oppose les Lilliputiens aux Blefescus, leurs voisins, au sujet de la façon de manger les oeufs à la coque… Un bijou d’humour et de finesse !

Molière du Jeune public :
J’ai trop d’amis, de David Lescot

Vous vous souvenez ? Vous avez eu très peur d’entrer en 6e, et ça vous a gâché vos grandes vacances. Et puis la rentrée est arrivée, et brusquement vous n’avez plus eu peur. C’est là que les vrais problèmes ont commencé…

Molière du seul en scène :
La métamorphose des cigognes, de Marc Arnaud

 Il a une mission, un projet, un devoir : faire un enfant par fécondation in vitro. Pendant une heure, l’homme se retrouve seul face à son gobelet vide, s’efforçant de suivre le protocole qui lui permettra d’être père. Fine et audacieuse, cette pièce navigue avec bonheur entre le trivial et le poétique.

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